Distinguer les idées principales des idées secondaire.

Le chapeau:

Le chapeau dans un article a pour but d’encourager la lecture:

Joël est policier, sa conjointe Martine est vétérinaire. Ils mènent une vie tranquille dans une petite municipalité en apparence sans histoire. Mais l’arrivée d’un cirque provocateur chamboulera la région. Les démons enfouis, les passions inachevées et le côté sombre des citoyens refont surface, mettant un terme à leur quotidien aseptisé. Dans Faims, en librairie aujourd’hui, Patrick Senécal renoue avec l’horreur d’une intensité à en faire des cauchemars. Entrevue avec l’auteur.

Introduction:

La vie tranquille et rangée des citoyens modèles n’intéresse pas Patrick Senécal, sauf quand il est question de faire tomber leurs masques pour montrer leurs côtés les plus sombres. Pour son 17e roman, l’auteur s’offre «l’horreur qui se cache dans le quotidien».

  • Sujet amener: La vie tranquille et rangée des citoyens modèles n’intéresse pas Patrick Senécal sauf quand il est question de faire tomber leurs masques pour montrer leurs côtés les plus sombres.
  • Sujet posé:Pour son 17e roman, l’auteur s’offre «l’horreur qui se cache dans le quotidien».

Développement:

«C’est l’histoire d’une petite famille qui, comme bien des gens, montre des apparences du bonheur, alors qu’ils sont tiraillés par des pulsions et des frustrations. L’arrivée d’un cirque dans leur village fera exploser cette tranquillité», explique-t-il en entrevue.

  • Idée principale : C’est l’histoire d’une famille comme les autres: heureux, mais tiraillés par des pulsions et des frustrations.
  • Idée secondaire: L’arrivée d’un cirque dans leur village fera exploser cette tranquillité

Cette famille nucléaire est celle de Joël, un des personnages principaux, qui se voit confier la tâche d’élucider les meurtres qui secouent la communauté pourtant si paisible. Drôle de hasard: ces assassinats sanglants (le meurtrier tue ses proies à coups de râteaux à la gorge et au visage) coïncident avec l’arrivée d’un cirque, dont le but est de provoquer les spectateurs et de les faire sortir de leur apathie. De faire rugir de leurs entrailles des frustrations enfouies…

  • Idée principale: Cette famille est celle de Joël, un des personnages principaux.
  • Idée secondaire 1: C’est à Joël que l’ont confie la tâche d’élucider ces meurtres sordide.
  • Idée secondaire 2: Ces assassinats coïncident avec l’arrivée d’un cirque dont le but est de provoquer les spectateurs.

«J’avais envie d’ajouter au récit des personnages excentriques qui chamboulent la vie des gens « normaux ». Sinon, le bonheur fait des histoires plates. On ne raconte pas l’histoire des gens heureux, ce n’est pas très intéressant», raconte Senécal.

  • Idée principale : Dans le récit les personnages sont excentriques et chamboulent la vie des gens ­­­ »normaux ».
  • Idée secondaire : Le bonheur fait des histoires plates. On ne raconte pas l’histoire des gens heureux, ce n’est pas très intéressant

«C’est pourquoi j’ai introduit cette histoire de cirque, formé de gens qui ont décidé de ne plus être ordinaires et qui veulent propager [leur révolte]. […] Je pense que l’univers de Faims parle en partie à mes propres peurs, celle d’un gars à l’approche de la cinquantaine qui se demande s’il a réussi la promesse qu’on se fait, quand on a 18 ans, celle de ne jamais tomber dans la platitude du quotidien», ajoute-t-il.

  • Idée principale : L’univers de faims parle en partie de ses propres peurs, celle de savoir si a l’approche de la cinquantaine il a réussi a tenir sa promesse qu’il c’était fait a 18 ans, celle de ne jamais tomber dans la platitude du quotidien.

Intertitre:

Le retour de la reine rouge

Les amateurs d’un Patrick Senécal plutôt «gore», aux histoires qui font frissonner, seront heureux d’apprendre que l’auteur retourne à ses origines après sa série Malphas, qui explorait plutôt l’humour noir. Faims offre aussi une surprise pour ceux qui ont lu 5150, rue des Ormes et Aliss: Michelle Beaulieu, alias la reine rouge, est de retour.

  • Idée principale : Patrick Senécal retourne a son ancien style, qui était plutôt  » gore « 
  • Idée secondaire : Après Malphas qui explorait surtout l’humour noir, Michelle Beaulieu alias la reine rouge, est de retour.

«Michelle est un personnage qui revient tous les 10 ans. Quand je pensais à mon cirque, elle m’est apparue sans que je sache pourquoi. Quelque part, je me demande toujours ce qu’elle devient, cette femme qui fonce à tête baissée sans morale et sans éthique. Elle va bien pogner un mur et se rendre compte qu’il y a quelque chose de très adolescent et amoral dans sa façon de fonctionner», explique Senécal.

  • Idée principale : Michelle revient tous les 10 ans, lorsqu’il pensait a son cirque, elle lui est apparue sans qu’il sache pourquoi.
  • Idée secondaire : Michelle est une femme qui fonce tête baissée sans moral et sans éthique.

Dans son nouveau roman, le personnage fait une certaine introspection, mais ne vit quand même pas une renaissance dans la lumière.

  • Idée principale : Le personnage fait une introspection, mais ne vit quand même pas une renaissance dans la lumière.

«Elle ne pourra jamais avoir une véritable rédemption. Si un jour, je montre son véritable destin, c’est clair que ça ne finira pas bien», tempère rapidement l’auteur.

  • Idée principale : Elle ne pourra jamais avoir un véritable pardon pour toutes les atrocités qu’elle a commises.

Et comme dans plusieurs de ses autres romans, la sexualité est omniprésente, comptant plusieurs passages suggestifs qui décrivent l’amour comme une passion trop souvent inexistante, perdue, parfois violente.

  • Idée principale : Comme plusieurs autres romans de Sénecal, la sexualité est omniprésente.

«C’est sûr que le sexe, c’est vendeur. Mais je n’écris pas de scènes de sexe pour ça. Le roman aborde la question des pulsions intérieures, la sexualité en est une. De renier ça, ce serait plutôt ridicule», se défend Senécal.

  • Idée principale : Le roman aborde la question des pulsions intérieures, comme la sexualité.

Car le sexe de Faims, bien qu’écrit sans gêne, n’a rien du soft porn. «Je n’aime pas la littérature érotique où l’on raconte des exploits sexuels sans intérêt. Passer 10 pages à parler d’un couple qui baise, sans qu’il y ait une motivation narrative, ça m’échappe.»

  • Idée principale : Le sexe dans Faims n’a rien du soft porn.

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