L’analyse de mon article – partie 1

                                           Titre :  Un Dragon mordu de Montréal                                   

 

J’ai choisi cet article, car je connais bien l’émission  Dans l’oeil du dragon depuis les premières apparitions  en Avril 2014 a Radio-Canada télé. J’ai immédiatement été charmé par le but de cet ‘télé réalité’ qui nous amène à voir ce que c’est de devenir entrepreneur d’un petit ou d’un gros commerce. Tout le monde est bienvenu sur ce plateau les personnes  riches, et les moins riches. Avec ou sans experience.

Selon moi , le titre est clair car je connais bien l’émission dans laquelle il fait diffusion. Mitch Gaber est bien connu du public, alors en sachant qu’il est directeur de l’organisme le cirque du soleil, on peut comprendre que cet homme a beaucoup de succès.

Nouveau président du conseil d’administration du cirque du soleil,qui était vendu à des intérêts américains et chinois. C’est ainsi que le Montréalais qui a amassé une fortune personnelle de 200 millions de dollars comme PDG des casinos et jeux en ligne.

Diplômé en droit de l’Université McGill, il se joint au cabinet Lazarus, Charbonneau où il développe, de 1992 à 1999, une pratique dans le droit des casinos, ce qui l’amènera à conseiller un consortium formé notamment des groupes Caesars et Hilton à ouvrir un premier casino canadien, à Windsor.

En 2003, il devient PDG du groupe Optimal Payments, avant d’être recruté en 2006 par la société de jeux en ligne britannique PartyGaming comme nouveau PDG. Une société dont la valorisation boursière était de 10 milliards US à la Bourse de Londres

Caesars Interactive Entertainment a été créé afin de développer les activités de casino en ligne du plus important groupe mondial de jeux.

Gaber est passionné de sa ville. S’il accepte de devenir un des cinq dragons investisseurs qui évaluent chaque semaine les projets des candidats qui défilent à l’émission Dans l’oeil du dragon.c’est parce qu’il rêve de réconcilier les deux solitudes québécoises, de redonner confiance au québécois.

 

 

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