Les argument dans la publicité

La publicité concernant le livre de Michel Leboeuf  »Nous n’irons plus au bois » est exempte de sophisme. Ou presque ! En regardant de plus près, j’ai pu constater que la première phrase du paragraphe introductif du livre est en fait un sophisme. On y cite :

 »Nous n’irons plus au bois si le loup, le triton vert et le papillon lune disparaissent de nos forêts, et si des plantes envahissantes, venues d’ailleurs, étouffent les trilles. »

Bien que l’auteur de cette phrase est voulu être poétique, il s’agit en effet d’un sophisme puisque personne ne peu savoir si oui ou non nous irons au bois advenant les événements suivants. Dans moodle, ce sophisme est appelé  »le sophisme de la pente fatale ». L’auteur va alors affirmer quelque chose qui apportera des résultats catastrophiques, mais qui en fait, après savoir réellement penché sur la question, on découvre que cette déclaration est biaisée.