L’analyse de Et si c’était vrai? page 48 partie 1

  1. Oui et non, si je lis juste le titre, je ne peux pas savoir de quoi il parle exactement mais on peut savoir qu’il explique le vrai et le faux des nouvelles. Oui, le titre a piqué ma curiosité.
  2. L’énonciateur n’est pas présent dans l’article. Parce qu’il parle beaucoup des autres. Il parle à la troisième personne. (journaliste, chroniqueur etc.)
  3. Le ton utilisé dans l’article est didactique parce qu’il veut instruire, informer son publique. le ton était convenable pour l’article.
  4. Oui, voici un exemple d’information explicite. «Jeff Yates, chroniqueur à ICI Radio-Canada et spécialiste en vérification des faits et phénomènes de désinformation sur le web, propose une définition qui a notamment été reprise par la Fédération professionnelle des journalistes du Quebec (FPJQ).»
  5. Oui, voici un exemple d’information implicite. «si on se fait piéger, c’est en grande partie à cause de notre comportement impulsif sur les réseaux sociaux.»
  6. Oui, voici un exemple d’expression connoté. «cela dit, la triste réalité est qu’on ne prend pas toujours le temps de lire – au complet – et d’évaluer l’information en gardant la tête froide.»

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