Le discours rapporté et celui de l’auteur

« Il faut dire que notre cerveau est pratiquement conçu pour croire les fausses nouvelles, comme l’explique au magazine économique américain Forbes Daniel J. Levitin, neuroscientifique et auteur de weaponized lies: Critical Thinking in the Post-Truth Era (en version anglaise seulement, qu’on pourrait traduire librement par «Les mensonges utilisés comme armes: la pensée critique à l’ère de la post-vérité»). «Les humains ont une tendance naturelle à la crédulité et veulent croire ce que les gens leur racontent», affirme-t-il. »

Ici c’est un discours rapporté, parce que c’est un fait que l’on peu vérifier. L’auteur nous donne un fait et non une opinion personnelle.

 

« Bref, nous aurions toutes avantage à tourner nos pouces sept fois avant de partager une nouvelle. »

Dans cet extrait, on retrouve un propos de l’auteur parce qu’il émet une opinion.

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