halte au dopage – la séquence textuelle dominant dans un magazine

Une séquence narrative est un ensemble de phrases visant à raconter très souvent une histoire fictive dont le but principal est de divertir, bien que plusieurs histoires soient écrites pour susciter la réflexion. Elle peut constituer le texte entier ou seulement une partie de celui-ci.

Une séquence descriptive est un ensemble de phrases dépeignant une réalité que le destinataire peut se représenter. Elle permet de produire une image de ce que le lecteur ne voit pas afin qu’il puisse se l’imaginer. ​La séquence descriptive, qui peut constituer le texte entier ou une partie du texte, a pour but d’informer le destinataire.

Une séquence explicative est un ensemble de phrases qui établit un lien de causalité entre des faits. Ce type de séquence répond à la question Pourquoi? ou Comment? La séquence explicative peut constituer le texte entier ou une partie du texte.

Une séquence argumentative sert à émettre des opinions sur un fait, un problème, un événement, une croyance, une décision politique, etc. dans le but d’influencer, de convaincre ou de persuader un destinataire. La séquence argumentative peut être la séquence dominante d’un texte (lettre d’opinion, éditorial, critique de film, etc.). Elle peut aussi n’occuper qu’une partie d’un texte (pièce de théâtre, roman, poème, chanson, etc.).

La séquence dialogale est un ensemble de phrases qui correspond aux échanges verbaux entre des personnages dans un texte littéraire ou entre des énonciateurs dans un texte courant. Elle peut constituer un texte en entier ou être insérée dans d’autres genres de textes comme séquence secondaire. 

​​​​​​​​​La séquence justificative permet de démontrer la validité d’une idée ou d’une opinion en présentant des raisons qui permettent de justifier cette idée. En ce sens, elle consiste en un ensemble de phrases qui permet d’appuyer son appréciation, de répondre à une question ou de présenter une solution à un problème.

mon articl est composé de séquence descriptive leur but étant de décrire les deux véhicule et les comparée exemple : la petite nouvelle a nien d,autres qualités à faire valoir : la poigne omniprésente, les chronos d’enfer et l’éfficacité ! les performances de la 991 phase 1 faisaient déja cauchemarder la concurrence. La remplaçante dopée, pourtant alourdie d’une trentaine de kilos, enfonce le clou et colle une pleine seconde à son aînée au 1000m! malgré la suralimentation, le régime de départ s’établit à environ 6000tr/mn et la 911 détale sans une once de patinage : 0 à 100km/h en 3­­­.7 !

 

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