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Introduction

Sujet : L’avortement au Québec

Sujet amené : Plusieurs femmes au Québec vivent des grossesses n’ont voulu ou compliqué. Quelles sont leurs options?

Sujet posé : Comment obtenir un avortement au Québec.

 

Développement

Idées principales : Au Québec, l’avortement est légal, gratuit et accessible en tout temps.

Idées secondaires :

  • Une femme a toujours le choix de faire ce qu’elle croit être le mieux pour elle.
  • Différentes techniques médicales dépendamment du nombre de semaines de grossesse.
  • 90% des avortements lors du 1er À ce stade, peut être fait dans presque tous les établissements de santé du Québec.
  • 2e trimestre peut également avoir lieu dans la majorité des établissements. Plus la grossesse est avancée, moins les établissements de santé sont équipés pour effectuer les avortements.
  • 3e trimestre plus rare. Les établissements ne sont pas tous équipés pour effectuer des avortements à ce stade. En cas de besoin, le système de santé québécois permet aux femmes de se rendre aux États-Unis pour obtenir un avortement. La RAMQ couvre les frais de déplacement et d’exécution de l’avortement.

 

Idées principales : Une grossesse de plus de 24 semaines est référée aux États-Unis.

Idées secondaires :

  • Chaque année, au moins une douzaine de Québécoise enceintes de plus de 24 semaines partent se faire avorter dans une clinique américaine.
  • Dr Jean Guimond, coordinateur des interruptions volontaires de grossesse de troisième trimestre au CIUSSS du Centre-Sud de Montréal.
    – Quelques reprises de devoir trouver un plan B pour une patiente qui ne pouvait pas voyager.
    – Il se scandalise du << blocage à tous les niveaux >> qui empêche les femmes enceintes de plus de 24 semaines de recourir à une IVG au Québec malgré le fait qu’au Canada, peu importe le stade ou la viabilité du fœtus, l’avortement est un droit.

– En 1973, la Cour suprême américaine stipule qu’après 20 semaines de grossesse, l’avortement est acceptable seulement si la vie et la santé de la mère sont en danger, si le fœtus porte de graves anomalies ou si la grossesse résulte d’une agression sexuelle.

– En 2007, le comité de bioéthique de l’hôpital de Sainte-Justine a publié un avis qui recommande que l’établissement ne procède à des avortements de troisième trimestre que lorsque << il existe une forte probabilité que l’enfant à naître soit atteint d’une anomalie fœtale grave, reconnue comme incurable au moment du diagnostic.>>

 

Idée principale : Les médecins ont le droit de refuser de procéder personnellement à l’intervention.

Idées secondaires :

  • Gaétan Barrette – Manque de médecins prêts à faire des avortements tardifs est la raison que les femmes doivent être envoyées aux États-Unis.
  • Dr Ravitsky Vardit – croit qu’un point de vue éthique, c’est complexe.
  • Louise Desmarais – ‘’Une femme prend ses décisions pour des raisons qui lui sont propres.’’

 

Conclusion :

  • 25 ans que l’avortement est décriminalisé au Canada, beaucoup de mythes circulent encore et cet acte demeure stigmatisé.
  • Une femme sur trois aura un avortement dans sa vie en Amérique du Nord.

Pour connaître endroit où obtenir un avortement, peut appeler le 811.

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