L’opinion de l’auteur

L’opinion de l’auteur : L’auteur est totalement contre le sujet traité. Quelques années après être partie de sa ville natale. Il revient sur les lieux, ce qu’il voit le bouleverse totalement. Quand il habitait dans sa ville, il était juste 4 milles, maintenant rendu à 4 milles. Ils ont tous démoli les petits commerces que les gens arrivaient à vivre avec ce petit salaire pour faire place à ses gros commerces, le centre d’achat, Macdonald, etc. Ils ont tout démoli ce qui faisait en sorte de vivre cette ville. « Aussitôt arrivé me v’là en beau joual vert, ça avait l’air de Val-Jalbert signifie qu’y’a quelque année ce petit village de Québec a été transformé en attraction touristique alors pour lui c’est représentatif à ce que ça petite ville es devenue. Tout au long de la chanson, André Fortin n’est aucunement en accord avec le fait du changement de sa petite ville. Il émia des moments de colère, de peine et de rage. Pour lui ce qu’il était de sa petite ville, devenu un épouvantable gâchis! Les gros commerces prendre une énorme place dans ce village, tout ce qui était des petits commerces : cinéma, la coop, le gaz-bar, la caisse-pop, le croque-mort, le magasin général, l’épicerie est maintenant toute démolie. Il semble être en colère face à ça, lui il est prêt à démolir avec son bulldozer parce qu’il est totalement contre le fait du changement.

 

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