L’Égypte et ses merveilles

L’Égypte et ses multiples merveilles cachées… Elle est reconnue pour ses pyramides, les sarcophages et les trésors enfouis sous les sables. Il s’y cache des ressources naturelles et des attraits touristique. Avec de la minutie et de la patience, les égyptiens mênent un combat pour les trouver et les conserver.

L’Égypte ancienne

Le buste de Néfertiti, il fut découvert le 6 décembre 1912, sur le site de Tell El-Amarna par le grand égyptologue allemand Ludwig Borchardit et son équipe. Cette statue date du règne d’Aménophis en l’an (1372-1354) avant Jésus Christ. Cette statue est faite de calcaire. Plusieurs amas d’objets en bois furent trouvés à différentes époques.

En Égypte on y retrouve les pyramides, Chéops et Gizeh, elles sont les plus connues parce qu’elles sont les plus grandes.

Le combat

Les Égyptiens mènent un combat ardu pour les trouver, mais aussi pour les conserver sur les sites même où dans des mussés du Caire. L’Égyptologue Zahi Hawass est à la tête du conseil suprême des antiquités, il priorise le développement des musées sur les sites de découverte. La direction administrative passe aux mains des Égyptiens par une loi en 1967.

Nourritures et couleurs

Les Égyptiens vivent de ressources locales, elles sont aussi considérées comme des merveilles naturelles, près de la pyramide à degrés de Saqqarah s’y trouvent les terres les plus fertiles du pays. Ils y produisent du maÏs, du blé, de la luzerne, des dattes, des tomates et des oignons ou des choux. «Près de Rosette, les dattiers de la palmerais d’El Lebani produisent jusqu’à 500 kilos de dattes chaque année.» Le lac Isorollos se fait naviguer par de grande barque munie de voile par des pêcheurs avec filets. Pour les Égyptiens plus pauvres, dépourvus de barques, aux Lac Manzola, passent près de cinq heures sous l’eau pour prendre deux kilos de poissons. Pour contrer la froideur, de l’eau s’entoure la tête et le visage de bandages.

Les cairotes, aiment les couleurs vivent, ils ont repeint certaines ruelles, les couleurs rehaussées par le soleil, amène à la discussion entre voisins. Les nuits du Ramadan, c’est au café Fichaoui, dans le cartier de Khan El Khalili et au moins trente mille endroits comparables, qui se rassemble une clientèle haute en couleurs comme « des musiciens, commerçants, trafiquants et extrémistes musulmans» pour le plaisir et l’ambiance.

Les rayons de soleil illuminent l’Égypte, éclairent les trésors, ils rendent les Égyptiens chaleureux. La persévérance les a enrichis.