L’analyse de Mon chat, mon thérapeute – page 84

Introduction : Pendant que je pitonne sur le clavier de mon ordinateur, ma chatte se lèche les pattes en ronronnant. Selma est heureuse installée le plus près possible de ma petite personne. Sans ma bibitte à moustaches, ma vie ne serait pas la même.

Aspect 1

Idée principale : Le chat à la maison

Idée secondaire : Tension artérielle et aucun changement habitudes.

Aspect 2

Idées principales : Plusieurs études ont découvert, ceux qui possèdent un animal de compagnie vivent plus longtemps.

Idées secondaires : Diminue pression artérielle, abaisse le taux de gras sanguin et apaise le rythme cardiaque.

Aspect 3

Idée principale : Visitez le médecin de 15 % à 20 % moins souvent

Idée secondaire : Enquête en 2004, Chine, Allemagne et Australie.

Aspect 4

Idée principale : De grandes universités étudient les relations entre l’humain et l’animal.

Idée secondaire : Centre de soins, réconfort, distraire, problème d’apprentissage ou de comportement.

Aspect 5     Moins de stress… Et plus d’amour

Idée principale : Nos amis à poil et à plumes calment le stress et l’anxiété.

Idées secondaires : Taux de cortisol diminue, le cerveau émet des ondes relaxantes et hormones. Meilleure estime de sois, plus sociables. Université de Miami et Virginie.

Aspect 6    Sommes-nous bons pour nos animaux?

Idée principale : Le Québec détient un record : l’abandon d’animaux.

Idées secondaires : Jetons à la rue 500 000 animaux. L’adoption est un engagement. Café Chat L’Heureux.

Aspect 7    Dans la tête de Fido

Idées principales : La psychiatre Sandra Barker, Centre médical Université de Virginie.

Idées secondaires : D’autres animaux que des canidés font de très bons thérapeutes. Chats réveillent émotions. Si l’hormone de stress diminue chez l’humain, elle demeure élevée chez le chien.

Aspect 8  Un sixième sens?

Idées principales : Animaux qui reniflent une partie de leur maître, jusqu’au moment où un cancer est découvert à cet endroit.

Idées secondaires :  Expert savent que cancer dégagent des composés volatiles. Université Pennsylvanie. Test sanguin. Sauvez des vies et Université de Floride.

Conclusion : « Il nous reste encore beaucoup de choses à apprendre sur les aptitudes insoupçonnées des animaux», souligne le spécialiste. Il s’inquiète d’ailleurs du sort de nos thérapeutes à quatre pattes. Or, personne ne s’en soucie. Les animaux nous donnent beaucoup, alors il faut respecter leurs limites.

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