Mon glossaire personnel

Parmi les 10 mots que je devais trouver, j’ai trouvé

  1. Bande muette : désigne les histoires en images sans paroles, généralement courtes, qui sont apparues au XIXe siècle. Fondées sur la pantomime, elles supposent une grande maîtrise de la narration graphique.
  2. Case ou vignette : image généralement cernée d’un trait et faisant partie d’une planche de bande dessinée. La case constitue l’unité de base dans la séquence narrative qu’est la page. Séparée des vignettes qui l’entourent, la case est interdépendante des cases voisines, et ne prend sens que dans la lecture de la page complète.
  3. Comique book :  aux États-Unis, le comique book est un fascicule de format 17 x 26 cm, comprenant en principe 32 pages. Paraissant à périodicité régulière, il propose des histoires complètes ou à suivre, et se spécialise souvent dans un genre (science-fiction, superhéros, aventure, humour…).
  4. Découpage : distribution du scénario dans une suite de cases qui forment une séquence narrative. Le découpage détermine le contenu de chaque image.
  5. Comics : terme employé dans les pays anglo-saxons pour désigner les bandes dessinées en général. Apparu vers 1900, il renvoie à la dimension principalement comique des premières bandes dessinées. On employait auparavant le terme « funnies », d’une signification voisine.
  6. Emanata : signes symboliques (traits de vitesse, gouttelettes de sueur, spirale d’étourdissement ou de folie, etc.) « Émanant » d’un personnage pour manifester une émotion ou un mouvement.
  7. Illustrer :  abréviation de journal illustré (sous-entendu : pour la jeunesse). Terme longtemps appliqué en France, faute d’un meilleur, aux magazines de bande dessinée.
  8. Mangaka : auteur de manga*.
  9. Mise en page : organisation des cases dans la planche. Définis la forme, la superficie et l’emplacement de chacun des cadres.
  10. Bédéphile :  lecteur passionné de bande dessinée.

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