L’objectivité et la subjectivité

L’objectivité d’un texte a des caractéristiques l’auteur vas écrire des faits réels et vérifiables. Il utilise un style de ton et un vocabulaire neutre et vas écrire à la troisième personne, comme «il»,«ou»,«on», sauf  à l’intérieur des citations.

Dans la biographie de Jean-Michel-Anctil sur Wikipédia: Jean-Michel-Anctil est né le 22 novembre 1969 à St- Pascal dans le bas du St-Laurent dans la province de Québec. Il a un seul frère qui s’appelle Dominic Anctil qui est professeur a l’école Nationelle de l’humour de Québec.

Source: Wikipedia,org/w/index/php:Jean-Michel-Anctil.

Dans un texte qui est subjective l’auteur utilise un ton et un vocabulaire descriptifs, expressifs,imagés.Il vas donner son opinion personnelle il porte des jugements,ses goût.

Critique humour: Jean-Michel Anctil à Gatineau: Aucune rouille pour Jean-Michel Anctil!

Publié le 23 novembre 2009 @ 11h50

Rédacteur en chef
Salle Odyssée (Gatineau) – vendredi 17 juillet 2009
Jean-Michel Anctil est revenu sur ses paroles. Lui qui disait, il y a six ans, ne plus vouloir monter sur scène, se retrouve à le faire en présentant son nouveau spectacle Tel Quel dans lequel il retrouve son public avec un plaisir palpable, et lui montre qu’il n’a pas perdu la main.
C’est à Gatineau, en Outaouais, que Jean-Michel Anctil offrait les quelques premières représentations de ce nouveau crû. Et si l’on se fie à la cavalcade de rires qui envahissait la salle Odyssée de la Maison de la culture, Tel Quel devrait connaître tout un succès aux quatre coins de la Province dans les prochains mois (dont une présence au Centre Bell, à Montréal, le 19 février 2010).
 
(…)

Toujours dans la première moitié du spectacle, l’humoriste nous raconte avec candeur et autodérision la découverte d’un kyste sur un de ses testicules. Le numéro n’est pas sans rappeler celui de la vasectomie de Martin Matte.

Priscilla, Râteau et quelques nouveaux
 
Priscilla, la fougueuse et exhubérante roussette, est de retour. La « croqueuse d’homme » a perdu du poids et entretient une relation amoureuse des plus louches avec un Colombien rencontré en voyage, qui lui fait parvenir plein de petits paquets douteux par la poste.
Jean-Michel Anctil nous ramène également Rateau, toujours aussi déglingué et tordant, dans un numéro où il le déshabille pour servir une conclusion solide qui rattache le spectacle à son titre. Bon flash au niveau des textes et de la mise en scène.
L’infidèle ivre figure aussi au menu et se montre une fois de plus fort efficace avec ses répliques assassines à l’endroit des femmes. L’humoriste a du imposer un quotas d’onomatopés et de soupirs à son auditoire tant les réactions sont prononcées dans la salle!
Anctil nous sert également un numéro avec trois nouveaux personnages itinérants sur un banc de parc, l’un d’entre eux n’étant qu’un sac de couchage qui tousse. De la mimique du premier aux expressions faciales du second, l’interprétation est fort impressionnante.
Il y en a donc pour tous les goûts dans ce spectacle où l’humoriste se met à nu en format stand-up avant de prêter ses traits à ses personnages. La mise en scène du frèrot Dominic Anctil et les textes que Jean-Michel Anctil cosigne avec Martin Petit, Pierre-Michel Tremblay et Simon Cohen conspirent à resserrer le tout.
Mais c’est véritablement le charisme de Jean-Michel Anctil et sa cote de sympathie auprès du public qui fait lever le gâteau de ce spectacle qui risque de connaître un succès comparable à celui de Rumeurs (son « dernier » one-man show).

Artistes:

Laisser un commentaire