Le titre de l’article est l’intimidation, alors je crois sans aucun doute qu’il m’informe suffisamment du sujet dont je vais traiter. Le titre est mentionné de façon générale mais peut sous-entendre plusieurs questionnements, donc nous pouvons élaborer longtemps.
Non, le titre en tant que tel n’a pas piqué ma curiosité, car ça commence à être un sujet habituel.
L’émetteur est présent à quelques reprises.
- Par exemple, à la page 55, dans le sous-titre (Une vidéo virale) 4e paragraphe, l’émetteur parle qu’il y a eu au-dessus de 13 600 personnes qui ont visionné la vidéo, dont elle aussi.
Par la suite, quand l’émetteur est allé à l’école en question, elle explique qu’elle a assisté à la représentation et qu’elle a recherché les porteurs du message. Ceux-ci ont présenté la vidéo réelle à l’émetteur, puis ils ont discuté de leurs cheminements suite à l’intimidation qu’ils ont vécue.
Oui, le ton est sérieux, car ce n’est pas un sujet que nous devons prendre à la légère.
Bien sûr, nous avons de l’information explicite :
- La vidéo a été le prix d’excellence de la Commission scolaire Chemin-du-Roy.
- Il y a eu plusieurs chicanes, affirme Véronique Landry, psychoéducatrice à l’école Saint-Zothique à Montréal.
Information implicite :
- Au printemps dernier, les élèves de l’école sont descendus de leur réserve de Manawan pour placarder les murs des commerces de Joliette. Parce que l’on ne peut pas déterminer combien il y avait d’élèves? On ne peut pas être certain que l’évènement s’est produit, à moins de se présenter à l’école.
- Mais chaque fois que les élèves mettent les pieds dans cette école, ils se heurtent aux préjugés. Alors on doit se poser la question : à quelles sortes de préjugés font face ces élèves?
Voici une expression connotée : Fléau = intimidation (page 52, 1er paragraphe), suicide = cataclysme.