L’analyse de Mon chat, mon thérapeute – page 84

Le titre m’informe clairement du sujet de l’article. Cet article a beaucoup piqué ma curiosité, car j’ai moi même deux chats à la maison. L’énonciateur est omniprésent, car elle parle à la première personne du singulier et à la troisième personne du singulier et du pluriel. Les tons utilisés sont :

Le comique, qui provoque le rire, la détente et suscite la réflexion. « Elle me suis partout dans la maison, répond à mes questions par une sorte de roucoulement et, la nuit, ronfle à côté de mon lit.»

Le pathétique, qui suscite l’attendrissement et la pitié. « Le Québec détient un triste record : celui des abandons d’animaux en Amérique du Nord. Chaque année, nous jetons à la rue quelque 500 000 petits compagnons à poils.»

Phrase implicite : « Selma est heureuse installée le plus près possible de ma petite personne.»

Phrase explicite : « Aujourd’hui, partout dans le monde, de très grandes universités étudient les relations entre l’humain et l’animal, même que leurs effets sur la santé. »

Expression connotée : « Sans ma bibitte à moustaches*,  ma vie ne serait pas la même. »

* Bibitte à moustaches signifie un chat.

Laisser un commentaire