Fiche de BD-québecoise

 

Partie 1: Les informations générales

 

Titre: Lovapocalypse

Série: Mécanique générale

Éditeur: Mécanique générale

Collection: Philippe Gérard et mécanique générale

Numéro: Aucun

Auteur: Philippe Girard

Année de parution: 2013

Nombre de pages: 108 pages

Dédicace: Aucune

Partie 2 :Le contenu

schéma narratif

Situation initiale :

Après la mort de sa femme, un père emménage dans une nouvelle ville à Québec avec son fils Izaak.

Péripéties :

Isaak se renferme sur lui-même, sous ses écouteurs, il écoute souvent de la musique.

– Il tombe amoureux de Rosalyne.

– Il entre malgré son refus  dans une secte avec son père.

­- Isaak scelle un pacte de sang avec la secte.

– Rejet de Rosalyne.

Dénouement :

Un invité annonce aux membres de la secte un apocalypse. Il vit la peur, il ne peut pas quitter la secte, seulement par le décès.

Conclusion :

Un soir, le père d’Isaak lui offrait des somnifères pour bien  dormir. Isaak les prend. Pendant qu’il est dans son sommeil, son père l’amena  sur un lit. Quand il se leva,il apprend que les membres de la secte sont décèdés.

Lieux importants : Ils ont déménagé en région de Portneuf (Québec)

Personnages principaux :Isaak

Caractéristique physique : Isaak est grand et mince, il se libère à travers la musique car il adore la musique rock.

Caractéristiques psychologiques : Perturbé et frustré

Personnages secondaires : Éric, un ami, son père veuf qui a perdu sa femme , Rosalyne son amoureuse, membres de la secte.

Temps/époques : 1996 – mars 1997

Thèmes exploités : L’adaptation à une nouvelle vie, deuil, révolte, secte

Valeurs véhiculées : Être prudent envers les gens en qui nous donnons notre confiance, Isaak vit l’amour.

Partie 3 : Le contenant

L’histoire  se vit à travers Isaak avec une langue familière et populaire.

Styles de dessins :

–  Images moins précises et moins détaillées aux personnages expressifs.

– Les lignes fines et répétées, expriment aussi  l’émotion.

– On y retrouve peu  de dialogues et beaucoup d’onomatopées.

Dans la BD Québécoise, c’est difficile de montrer  la nationalité des auteurs.

 

 

 

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